What my top-five most viewed photos tell me is that I should have been a model in my early thirties rather than a wannabe photographer.
I have been using Flickr since 2005.
Well, I have not used it for several years now, and I think I just understood why:
The most viewed photos are almost entirely pictures I posted that picture me. They are part of the story I told about me on this platform, but they are not photos I took. (Although I did a series of self portraits in a dusty mirror which are of me, by me.)
But I don’t use the platform to show myself (that’s what Instagram is about, right? And I left that one already), as much as to showcase my photography at the same time as I photo-document bits of my life.
The only photo where I am not, among the top five, is a byproduct of its title being the same as swingers club (a coincidence, which I blogged about in 2006 when I figured out why it was my most popular photo.)
I think I will find out how much longer the pro membership I paid is, and find an exit strategy for all of my photos on this platform. There is appetite for how I was about 10 years ago more than there is appetite for the stuff I want to show, much to my dismay.
Je choisis volontairement un titre à la fois ambigu et provocateur pour exprimer ma déception face à l’obstination de notre employeur et son entêtement à ignorer le progrès que représente le télétravail. Car j’en ai gros [sur le ❤️] à ce sujet. C’est une situation que je pratique depuis une quinzaine d’années ou plus, sur presque 23 –gasp ! Je ne suis pas seule à être en télétravail, et pourtant, on nous refuse de l’élargir à tous.
Bonjour, je suis Coralie, élue déléguée du personnel titulaire depuis presque dix ans, et c’est source de moultes frustrations !
Le Monde publiait hier dans sa section Économie un article intitulé « Le télétravail améliorerait la productivité », alors que j’ai encore aujourd’hui dans la bouche le goût amer que m’ont laissé les deux tentatives récentes de négociations avec la direction des ressources humaines, visant à généraliser le télétravail potentiellement total à ceux de mes collègues qui peuvent le pratiquer, qui le souhaitent, et pour qui ce n’est pas encore autorisé.
Car chez nous, même si la majorité du personnel est en capacité d’effectuer l’activité professionnelle de n’importe où, seuls certains sont télé-travailleurs à temps plein.
Or, le grand fossé qui sépare les uns des autres n’est pas près de se combler, alors même que durant les dix-huit mois suivant le premier confinement Covid-19, l’intégralité du personnel a été en télétravail.
Pour la Direction il ne fait aucun doute que tous ceux pour qui c’était nouveau sont rapidement et efficacement passés en mode « travail à distance ». Belle preuve d’agilité et belle faculté d’adaptation ! Les collègues ont su mettre en place d’eux-mêmes les protocoles répondant au mieux à leurs besoins et utilisé des méthodes simples, logiques et optimisées.
Pourtant début octobre ce n’est pas ce que la Direction a choisi de mettre en exergue pour justifier son refus de généraliser le télétravail. Non, ce qui fut déclaré, c’est que personne en France ne fait du télétravail complet, et que les accords nationaux interprofessionnels recommandent un maximum de trois jours par semaine télé-travaillés, insistant sur un équilibre servant à éviter tous risques psycho-sociaux.
(L’organisation légale est complexe mais pour simplifier, je suis employée par une société pour travailler dans une autre, telle un projet. Et pour continuer dans le complexe, notre Comité social et économique (CSE) est constitué de trois personnes affectées à ce projet et d’une travaillant pour la société directement. Je suis l’une des deux titulaires au CSE et j’ai donc pris part aux négociations en octobre et bis repetita en novembre.)
Mes collègues se contentent de ce qu’on leur accorde. Moi, de l’autre côté du fossé, je vois ça comme une punition à leur égard dont je ne comprends pas la justification.
Question bonus : Quid des risques psycho-sociaux pour ceux d’entre nous en télétravail total depuis des années ? Aucune idée. La question est posée mais restée sans réponse.
Il arrive parfois que les étoiles se trouvent dans un parfait alignement. Comme hier. Un samedi gris de début avril, tombant en fin du premier quart de la période de « mesures supplémentaires de freinage du coronavirus, durant l’extension de l’allègement du confinement » cette dernière étant en vigueur en France métropolitaine depuis le 16 décembre 2020. Bref, j’avais le temps de répondre à l’enquête de satisfaction commanditée par Cetelem. Et l’envie.
Parce que Cetelem, j’ai des choses à dire à ton sujet !
Cetelem c’est un peu comme l’hôtel Californie, quand même : “You can check-out any time you like. But you can never leave!” (« Vous pouvez partir à tout moment. Mais vous ne pouvez jamais partir ! ») Je le sais, car j’ai essayé.
En fait, à chaque fois que je prends place sur mon canapé-payé-en-4-fois-sans-frais, une infime zone de mon cerveau s’active : celle qui se souvient que c’est via un produit Cetelem, même si je l’ignorais à l’époque, que j’ai pu faire l’acquisition de ce canapé, il y a bientôt 4 ans.
Entre-temps, j’ai respecté le contrat et soumis par courrier recommandé la signification de son arrêt (c’est ambigu si une fois le crédit remboursé le contrat s’arrête), dans le délai imparti. Depuis : boîte noire.
Et puis j’ai envoyé un autre courrier recommandé, quand ils ont continué de —ou recommencé à — envoyer des courriers tout aussi ambigus m’informant de la situation de mon compte. Et puis ce sont les courriers électroniques que la boîte noire a émis. L’un pour m’informer d’un message dans mon espace personnel. L’autre pour m’informer de la disponibilité de mon relevé en ligne. Puis ce fut une offre de bienvenue à un nouveau service de paiement. Dans TOUS les cas, il faut s’identifier sur leur site pour savoir de quoi il s’agit. Et dans TOUS les cas, s’identifier sur leur site semble m’engager à réactiver le contrat. NON MERCI !
Graduées de 0 à 10, je ne comprends pas vraiment la dynamique des questions.
Je crois que ce genre d’enquête ne sert que pour ceux qui n’ont rien à dire.
J’ai mis des zéros le plus possible et fourni des raisons là où c’était possible.
Non, je ne recommande pas Cetelem à quiconque. Mon niveau de satisfaction concernant les produits ? Comment dire… Les offres commerciales proposées ? Impossibles à éviter ! La fréquence ? Dès lors que non c’est non, même une fois est trop fréquent.
J’ai mis 10, la graduation la meilleure, à la question « est-ce que Cetelem s’engage pour une consommation plus responsable et plus durable ? » Je l’ai fait comme une plaisanterie où oui, je vous garantie que je vais me responsabiliser : Cetelem c’est terminé !
Est-ce que Cetelem a facilité mon parcours et l’accès au service ? LOL.
Est-ce que je choisirai Cetelem pour un projet futur ? Absolument pas.
Les mentions légales de leur email me demandant de leur donner mon avis m’ont permis une nouvelle fois de leur écrire, cette fois pour exercer mon droit relatif à mes données.
A few minutes are all that is left of August. Then we’ll pivot into September and for me it’s the beginning of the meh months, which span about 8 months.
But there are three more weeks of summer and that’s what makes September the easiest of the meh months \o/
In order to look forward to them, I am thinking of approaching them with lists of things I want to do.
One of the lists I need to make first is that of the things or activities that bring me joy and satisfaction. Because these don’t make themselves obvious at the times I need them the most!
Another is about the things I will need to do (outside of work, that is, where I am all set with TODOs, reminders, actions, issues, one-on-ones, weekly meetings, fortnightly ones, etc.)
I feel I might need a third list, but I don’t know yet if it’s right, or if it is a subset from list number two. But it’s an important piece and perhaps that’s what warrants a specific list: one area I read want to dig in is keeping imposter’s syndrome at bay and learning to enjoy where I’m at. Here’s what I mean:
1) one has skills without necessarily realising it, and 2) one may not know how to enjoy the place they’re at when they are right where they’ve worked hard to be.
How do you get to name those skills as personal assets? How do you bask in their glory (without becoming a pompous infatuated egomaniac)? And what list to you build for this journey?