Dream: V Wing AirPods

In a dream that felt particularly real, a kind and good looking stranger arranged my Apple AirPods into a V Wing…

I had no idea this was even possible! I was in a diner in a busy and dark megalopolis, minding my own business, when this guy eyes me, leaves his young companion at adjacent table, sets himself in front of me and deftly handled my Apple AirPods and case. His fingers and hands were like those of Rubik’s cubes players. The next moment he set on the table what looked like a small V Wing Star Wars spaceship. He said, “there, now you have your own portable loudspeakers” and left.

I looked at the beautiful object in front of me, and thought I needed a second pair to use in-ear, because I would never be able to arrange them this way again.

I also tried to think of what to tell the stranger to hold on to him longer, but nothing came to mind and I was disappointed. That’s it.

I woke up wondering just how loud the small device would be 🙂

Dream: my jellyfish iPhone

I had the silliest dream last night.

memoji-skeptical

My iPhone had three new pages of app icons which were in fact photos from my camera roll. I had no idea this was possible and I was baffled how these had ended up there.

I was in my office, but instead of a floor, I was wading knee-hight through the Mediterranean sea, near the shore. Actually, I was standing between my desk and the shore. The configuration of my office was exactly as I know it, except there were no walls, no roof, no floor. Just the sea of shallow waters beneath me, and the beach unseen behind me.

My iPhone was huge. The size of six or nine iPads stitched together, and it was floating on the surface of the water. But it was normal. Everything seemed normal to me, then.

A breakthrough occurred: I had just realised that selecting several of my photos was what had turned them into the app shortcuts on the iPhone screen. Several pages of those. I just needed to undo that. But long-press on them did not remove them.

When I long-pressed, instead of jiggling the icons, the iPhone produced… a sunny-side-up egg with a side of bacon.

That’s not all.

The egg white had text written on it, but insufficient contrast, so I couldn’t read it.

That was very frustrating. Also, the ebb and flow made it hard for the egg-and-bacon to not jiggle on its own. And while the giant floating iPhone was unaffected by the wavelets, the egg-and-bacon quickly started to sink.

So I kept long-pressing the humongous floating iPhone, and it kept producing sunny side-up eggs and bacon, with insufficient text contrast, which kept sinking. No matter how hard I squinted, all I could make of the text were several undecipherable grey lines.

I woke up just as the iPhone had started to produce jelly and peanut butter sample containers in addition to more of the sunny-side-up egg and bacon. Upon waking, I was wondering how many more ingredients the iPhone had “in it”, and how the heck I was going to get rid of the photos turned into icons on the iPhone screens. The photos were not even great. I guess I’ll never know!

That’s it. That’s the dream.


I was neither hungry when I woke up, nor had I eaten breakfast before going to Zzzleep. I don’t know that you can turn camera roll photos into screen shortcuts either.

Le second mariage de la fille d’un ami

J’étais invitée par mon ami au re-mariage de sa fille. Ça se passait à Marseille. J’y allais en voiture avec mon fils Adrien et peut-être le chien. Mais Adrien m’attendait dans la bagnole. Peut-être parce qu’il y avait le chien.

Je sais pas trop.

Je suis à la bourre pour assister à la cérémonie. Je cours sur les trottoirs mais je ne suis pas garée trop loin, alors ça va.

L’endroit est bizarre, vraiment. Il faut passer par un entrepôt puis un grand espace comme une université, monter des marches et des escaliers roulants, traverser de longs corridors en marbre. Et enfin arriver chez mon ami (sauf que ça ressemble pas à chez lui. Ce qui est normal, vu qu’il n’habite pas Marseille.)

J’arrive enfin. Je vois une foultitude de gens.
Dont Karl.
Je suis hyper contente de le voir.

Je l’appelle, enthousiaste, et lui me tend et me serre la main. Il ne me remet pas.
Il dit « on est bien accueilli ici » et continue de marcher avec le flot de gens.

Il est à noter que tout le monde va dans le sens opposé à moi.

Puis je bois une coupette de champagne, ‘clink clink’, la fête entre amis. Je cause principalement avec mon ami, et sa fille. Je sais qu’elle attend son deuxième enfant et je m’interroge vaguement sur l’objet de son re-mariage avec son mari.

Mais je ne pose pas de question.

Et puis, mouvement. Je me retrouve à descendre dans le grand espace qui me fait tant penser à une auguste université, et sortir sur un parvis, à l’opposé de là où je me suis garée. Le coin semble appartenir à une autre ville.

Là, il y a plusieurs attroupements, et des passants.
Dans un groupe il y a mon ami et ancien collègue de travail, chaals, et Léonie Watson, et quelques autres du W3C. Mais je ne vais pas les voir parce qu’un mec m’aborde.
C’est un sosie de Karl.
Il semble me connaître et je joue le jeu pour pas commettre d’impair.
Il est un peu éméché. Puis, il disparaît et réapparaît tout blessé. À l’arcade sourcilière et sur la joue opposée.
Il a dû soit tomber de sa hauteur, soit se battre.
Je m’alarme mais lui n’en fait pas cas. Il est toujours bourré.

Je me mets en mouvement subitement car je suis de nouveau à la bourre. Cette fois pour retrouver Adrien.
Je cours sur le parvis, consciente que je ne vais pas avoir le temps de dire au revoir. Je dis au revoir à la fille de mon ami. Son père, je ne le trouve pas. Je refais le parcours dans l’université, le hangar, je cours avec mes talons hauts, j’ai peur de m’accrocher et filer mes bas.

Je sors de l’entrepôt. Le trottoir de l’autre côté est ruisselant de pluie et il pleut à verse. C’est claffi (*) de gens.

Zut, encore des obstacles.
Une grosse voiture est en rade, les passagers dedans, échouée sur presque toute la largeur du trottoir. Les gens dedans, une famille entière, sont trempés et tristes : ils ont le toit ouvrant ouvert.
Leur coffre est ouvert et dégueule le moteur cassé et fumant de la voiture. Je me faufile entre le mur et cette voiture, alors que ses feux de détresse éclairent mes jambes en orange et au ralenti.

Après la pluie c’est la neige qui se met à tomber.

Je suis vaguement consciente que je suis garée dans la direction où je vais mais ne me souviens plus où exactement. Les trottoirs sont bondés.

Une dame policière fait la circulation des piétons.
Je traverse en courant au rouge. Elle se dirige vers moi. Je sens que je vais morfler. Mais au dernier moment elle trouve une pire infraction à traiter.

Ouf.

Je cours sur le trottoir alors que je réalise que c’est pas un trottoir mais la route, et que sur deux voies il y a plusieurs poids lourds qui arrivent de directions opposées. Sous la neige. Grosse frayeur.
Je crie à deux jeunes femmes de se pousser.
Les poids lourds passent sans écraser personne. Miracle. Mais une des jeunes filles tombe par terre en glissant.
Je cours toujours et en la dépassant lui dis « up you go, hop hop hop! »
L’autre dit « qu’est-ce qu’elle dit ? »
Je saisis le bras de celle à terre et l’aide à se relever. J’explique qu’elle peut pas rester étalée trop longtemps : c’est dangereux.

Je me remets à courir. Je sais où je suis garée et j’y suis presque. Je me dis que quand même, depuis le temps, j’aurais déjà dû y être.

Je mets le pied dans une flaque d’eau si profonde que c’est toute ma jambe qui s’enfonce. Merde, me dis-je, mes chaussures à talons en cuir sont trempées, ça va être chiant pour conduire.

Je continue de courir. Dernière ligne droite jusqu’à ma bagnole.
Il commence à faire nuit. Ou alors c’est dû aux gros nuages de neige.

Je distingue ma voiture à deux cent mètres.
Un mec dans une voiture blanche arrive à vive allure pour se garer juste derrière. Si vite que même encore à mi-distance je vois et entends le choc de la collision.
Je suis outrée. Et je commence à imaginer l’engueulade qui va s’ensuivre.
Et j’espère qu’Adrien n’a rien et n’a pas peur.
Je voudrais tant lui faire savoir que je suis en train de courir vers lui et que j’arrive.
Je suis furieuse, angoissée et anxieuse parce que les deux mecs qui ont percuté ma voiture ont le type un peu loubard, et vont me rendre la vie dure lors de la confrontation.

Et paf, c’est là que je me suis réveillée en sursaut.

(*) “claffi”, expression locale du sud-est, signifiant “rempli”.

Rêve : règlement de compte chez les Steam Punks

La scène se passe à une époque contemporaine, à quelques détails prés, avec des gens pour la plupart étrangers dans la vraie vie.

Nous sommes donc un petit groupe de jeunes cool, dans un Far West des temps modernes. Et on se mettait à protéger une nana qu’on connaissait à peine, de son lourdot de mec qui l’enquiquinait.
On va donc, en calèche (Far West, oblige), se planquer dans une grange immmmmmmmense.
Le plan c’était que la nana blondinette et moi nous planquions parmi des piles de coussins emmêlés, en comptant que l’enquiquineur allait me trouver d’abord. Mais finalement on reste tous ensemble sur la calèche à l’attendre, décontractés et bon-enfant. Un gars de notre bande met de la musique (moderne). De la musique qui swinguait plutôt bien ! Sur une vieux système sono en bois poussiéreux et grand comme une orgue d’église. Ça envoyait du gros son. Je me disais que ça allait mettre à mal notre “planque”, ce gros son.

C’était très steam punk, ce rêve. Même les pistolets étaient en cuivre. Des voitures du début de l’ère automobile circulaient dans la grange, sur un sol de terre et de poussière. Manquait plus que des boules d’amarante sèche qui roulent nonchalamment en arrière-plan. Ont circulé aussi un camping-car comme celui de Barbie, ainsi qu’un trente-huit-tonnes de nos jours, bien rutilant, qui lancé à vive allure a écrasé un petit carrousel blanc. Un trente-huit-tonne et un manège –dans une grange– c’est pas typique !

Bref. Le vilain arrive ! Un grand maigre brun habillé en cowboy. C’est la nuit, à ce moment dans la grange (alors qu’au moment de la collision trente-huit tonnes / manège, il faisait soleil *dans* la grange.) Alors, on essaie de plaider avec lui, mais comme il était en état d’ivresse, c’était pas facile facile. “Allez, arrête de l’embêter ! Elle ne veut plus de toi” etc. Mais va négocier avec un mec bourré…

D’un coup, il sort une arme ! Mais la petite blonde en sort une aussi ! Hop; je m’en saisis. Il me tire dessus !

Pfff, des balles en caoutchouc, même pas mal.

Je lui tire dessus –merde ! des balles en caoutchouc aussi; ça rebondit sur lui. Mais à force de le canarder, une des balles en caoutchouc finit par lui perforer la peau.

On se met à couvert dans la calèche pour recharger. Il recharge aussi. On ne sait pas où il est planqué. Il a dû sortir de la grange.

Ah, il revient. On est prêt. Il titube toujours et a l’air clairement moins déterminé. Un peu comme s’il ne savait pas ce qu’il faisait là ni pourquoi il tenait un revolver. À ce moment ce n’est plus moi qui tiens l’arme de notre camp, c’est un ami (Olivier, dit “Le Jeune”). Ce que je tiens, moi, c’est une timbale en fer remplie d’eau bouillante, que je verse sur la tête de notre ennemi. Il devient rouge homard et s’écroule à terre, se tortillant et passant de homard à rouge cramoisi. Olivier en profite pour s’approcher et lui mettre une balle dans le cou à bout portant, alors que je commençais à dire “Bon, pouce, il a l’air d’avoir eu son compte, là.

C’est là je me suis réveillée en sueurs.

Alors, ça vient d’où, tout ça ?

Je me demande si la blonde n’était pas inspirée du personnage de Zezette dans le film “Le Père Noël Est Une Ordure”, et les cowboys d’un bout du film “Retour à Brokeback Mountain” qu’on a regardé sans voir l’autre jour. La grange immense, je ne vois pas, ni le camping-car Barbie. La sono type orgue est peut-être inspirée des églises à Rome dont j’ai traité les photos récemment. Le groupe de jeunes cool était constitué de gens de l’association ParisWeb, sans que ce soit eux (quoique celui qui met la sono, je crois bien que c’était Sébastien Delorme, l’ancien président), et j’ai lu récemment qu’ils vont préparer la 10ème édition de leur conf, cette année. Olivier quant à lui, fait certainement partie du casting car on en avait parlé à la maison. J’ai fait ce cauchemar la veille de l’attentat à Charlie Hebdo le 7 janvier. Donc, rêver d’armes et de tirs n’en est pas une conséquence.

Comme dit Vlad, c’était le Grand Zapping dans ma tête !