I tested acrylic gouache. They are similar to regular gouache, and even watercolour, except that they dry much quicker and once they’re dry they can’t mix anymore.
It’s both an advantage and a challenge! An advantage because you can layer other colours without any smearing. A challenge because the error margin is much narrower: if you don’t get it right the first time your mistake has to be worked around.
This is a river scene with two persons using long poles to maneuver their boats, and passing next to patches of grass where trees like willows are growing. It must be the start of autumn because the trees are bare but there is still grass. A few huts are visible on the horizon. There is a big orange setting sun, and grey and orange clouds.
Framed in black, 10×15 cm (4×6 in.) [and since then sent to my friend Isabelle for whom I painted it.]
Rough pencil sketch
Transparent blue, grey, and orange.
This looks and feels just like watercolour.
A bit more colours in small areas: specks of grey and blue-grey to add vegetation in the background, and yellow for the huts, boats and the hats.
The green is now added to the meadow and another darker layer for shading. Brown and black for the trees, boats, men and their poles.
I realised this was going to lack a lot of contrast. The colours are much paler than I thought.
I added many thin black lines in ink to try to make up for the lack of contrast.
Stamped, dated and signed.
Finished piece, in a little black wood frame with a white mounting card.
Tonight’s artwork, framed in white: Cormorant fishing. Somewhere in China. Near a blossom-laden old tree. There are hills rising from the mist, and a temple sits at the top of a hill, under a big red sun.
Black, grey, pink and red brushpens, water brush, on watercolour Montval Canson paper. 10×15 cm (4×6 in.)
Je choisis volontairement un titre à la fois ambigu et provocateur pour exprimer ma déception face à l’obstination de notre employeur et son entêtement à ignorer le progrès que représente le télétravail. Car j’en ai gros [sur le ❤️] à ce sujet. C’est une situation que je pratique depuis une quinzaine d’années ou plus, sur presque 23 –gasp ! Je ne suis pas seule à être en télétravail, et pourtant, on nous refuse de l’élargir à tous.
Bonjour, je suis Coralie, élue déléguée du personnel titulaire depuis presque dix ans, et c’est source de moultes frustrations !
Le Monde publiait hier dans sa section Économie un article intitulé « Le télétravail améliorerait la productivité », alors que j’ai encore aujourd’hui dans la bouche le goût amer que m’ont laissé les deux tentatives récentes de négociations avec la direction des ressources humaines, visant à généraliser le télétravail potentiellement total à ceux de mes collègues qui peuvent le pratiquer, qui le souhaitent, et pour qui ce n’est pas encore autorisé.
Car chez nous, même si la majorité du personnel est en capacité d’effectuer l’activité professionnelle de n’importe où, seuls certains sont télé-travailleurs à temps plein.
Or, le grand fossé qui sépare les uns des autres n’est pas près de se combler, alors même que durant les dix-huit mois suivant le premier confinement Covid-19, l’intégralité du personnel a été en télétravail.
Pour la Direction il ne fait aucun doute que tous ceux pour qui c’était nouveau sont rapidement et efficacement passés en mode « travail à distance ». Belle preuve d’agilité et belle faculté d’adaptation ! Les collègues ont su mettre en place d’eux-mêmes les protocoles répondant au mieux à leurs besoins et utilisé des méthodes simples, logiques et optimisées.
Pourtant début octobre ce n’est pas ce que la Direction a choisi de mettre en exergue pour justifier son refus de généraliser le télétravail. Non, ce qui fut déclaré, c’est que personne en France ne fait du télétravail complet, et que les accords nationaux interprofessionnels recommandent un maximum de trois jours par semaine télé-travaillés, insistant sur un équilibre servant à éviter tous risques psycho-sociaux.
Mesurez s’il vous plaît l’ironie de la situation : L’organisation pour laquelle je travaille (en télétravail total, depuis des années) met en place de manière collective et collaborative les standards du web, mais la société qui m’emploie pour faire cela prétend qu’aucune boîte française ne fait du télétravail total (*), et ainsi n’admet pas la généralisation au reste de son personnel de ce statut auquel tous se sont parfaitement adaptés.
(*) hmmm, et donc quid de mon statut de télé-travailleuse ?
(L’organisation légale est complexe mais pour simplifier, je suis employée par une société pour travailler dans une autre, telle un projet. Et pour continuer dans le complexe, notre Comité social et économique (CSE) est constitué de trois personnes affectées à ce projet et d’une travaillant pour la société directement. Je suis l’une des deux titulaires au CSE et j’ai donc pris part aux négociations en octobre et bis repetita en novembre.)
Mes collègues se contentent de ce qu’on leur accorde. Moi, de l’autre côté du fossé, je vois ça comme une punition à leur égard dont je ne comprends pas la justification.
Question bonus : Quid des risques psycho-sociaux pour ceux d’entre nous en télétravail total depuis des années ? Aucune idée. La question est posée mais restée sans réponse.